Allez Hop, je me lance. Chers amis Freudiens, à vos calepins.
On est 5 ou 6 personnes et on court dans un bâtiment de type classicisme. Il est dangereux, il faut qu’on lui échappe ! Ses sbires gardent les entrées principales. On ne peut pas les utiliser. Nous devons retrouver cette ancienne porte, celle menant sur les jardins. Cependant, personne n’en connaît l'emplacement exact. On court comme des fous à travers le bâtiment, traversant des couloirs, fouillant des pièces, gravissant et dévalant des escaliers... jusqu'à ce que l'on entreprenne de parcourir un long couloir tout juste éclairé par un oeil de bœuf situé à son extrémité. Il n'y a aucune porte, ni à gauche, ni à droite. On est arrivé à la fin de ce long couloir. On remarque une petite poterne, semblable à une porte de placard, juste sur notre droite. On l'ouvre et sommes tombons face à un placard. Des pas derrière nous. Quelqu'un nous dit "vite, vite, entrez !". On ne rentrera jamais là-dedans ! La porte du placard se referme sur nous. On est tous rentrés finalement. Et là, sans savoir pourquoi ni comment, nous nous retrouvons au beau milieu du jardin. On ne s'arrête pas sur cette mince victoire. Nous nous élançons à travers les herbes et les buissons. Nous entourant, un vieux mur de pierres recouvert de lierre. Face à nous, une sorte de passage pavé, qui descend sur une vingtaine de mètres et donne sur une petite cour, non moins pavées. Cette petite cour est encadrée de hauts murs de pierre, aussi couvert de lierre. Elle mène à l'extérieur, par une arche, sous le mur d'enceinte.