Je cherche un contact et je fait une petite étude du lieu (histoire, disposition, réseau hartman,…..)
Maitenant, les contacts (volontaire ou non), dépendent :
de l’écospectral (mot que j’ai inventé. Joli, non ?) Certains lieux sont plus propice et amplifie les possibilités. Il y a les portes mais aussi comme de micro-portes que l’on en voit pas de suite….
De la sensibilité : nous sommes en permanence comme sur une zone tampon. Un peu comme si nous marchions sur une plage sans voir la mer. Notre propre sensibilité à percevoir les autres mondes, les énergies, etc. va dépendre aussi de nos barrières culturelles et /ou protectrices . Tout le monde n’aime pas ça et donc, vers 6, 7 ans, la plupart des enfants élabores une sorte de refoulement de cette forme de sensibilité. Les expériences spéciales comme de mort imminente vont jouer aussi sur notre sensibilité.
Du condensé de l’entité : certaines entités sont peu perceptible, d’autres moyennement et, enfin, d’autres sont très condensée et je crois que c’est dans ce dernier cas que les gens moins sensibles parlent de fantômes, spectres, de machin avec des chaînes et une sorte de drap sur eux (je ne sais d’où vient la légende des chaînes (ça, par contre, ‘j’ai jamais vu) mais l’histoire du drap toit venir de la pâleur générale de certaines manifestations (j’appelle cela les corps froids ou plutôt peu énergétique )
De notre cuirasse-filtre : je ne sais comment appelé cela autrement ni dire ce que c’est mais tous le monde n’a pas la même sensation. Certes, on peut trouver des entités assez mesquines, espiègleries, un peu disjonctée et incompréhensible mais il y e peu de vraiment méchante jusqu’à nous mettre en danger autrement que par influence psychique (des personnes peuvent développer des instincts suicidaires sous l’influence de certaines entités : faites, de toute façon, très attention au système du oui-ja si vous ne vous sentez pas suffisamment fort pour résister aux influences psychiques. Il n’y a pas de honte à cela, ce n’est ni une qualité, ni un défaut. Par exemple, il existe des personnes fragiles aux piqûres d’insectes et d’autres non. On ne peut dire pourquoi et cela ne se commende pas). De plus, rien n’est plus désagréable que de devoir intervenir dans un cas pareil. La fragilisation de la personne est une donne et la façon dont ce genre de larves se colle est une autre. Ca ne veut pas partir facilement ces machins. (C’est même pas vraiment comestible
énergétiquement et donc tu en ressors toujours fatigués).Le meilleur truc, selon moi, c’est de leur lâcher une bonne dose de colère sans lésiner sur l’adrénaline.